Un nouveau dépoussiérant-sécheur pour les équipements électriques et électroniques

Conçu par ITW Spraytec sous la marque Jelt, le nouveau dépoussiérant Jelt Eco Booster se présente sous la forme d’un gaz liquéfié pur et sec, comprimé en aérosol de 650ml. Celui-ci est destiné spécifiquement au dépoussiérage et au séchage des matériels informatiques, électriques et électroniques, y compris pour la maintenance des systèmes industriels.

La particularité de ce nouveau dépoussiérant est de bénéficier d’un procédé de conception unique permettant, d’une part, un contrôle du débit grâce au pistolet régulateur ergonomique, et, d’autre part, une pression exceptionnelle, capable d’enlever toutes les particules même les plus importantes dans les endroits les plus inaccessibles.

Existant en version toutes positions (All-Way), et utilisable sous tension, Jelt Eco Booster est doté d’une valve gros débit qui diffuse une pression ultra puissante au débit constant. L’ensemble contribue à éliminer les pannes, à chasser l’humidité et à accélérer le temps de séchage des solvants ou des liquides d’entretien.

Une solution de maintenance industrielle ininflammable, non abrasive et écologique

Ce nouveau dépoussiérant est composé exclusivement d’un gaz fluoré de 4ème génération, le HFO 1234ze. Ce gaz totalement ininflammable, liquéfié pur à plus de 99.5%, est sans effet sur la couche d’ozone. Grâce à son faible impact négligeable sur l’effet de serre (GWP = 6), Jelt Eco Booster n’est pas visé par le protocole de Kyoto et le règlement F-gas (n° 842/2006/CE). Son utilisation participe au comportement éco-responsable. Enfin, totalement sec et non abrasif, il ne laisse pas de résidus et est utilisable sous tension.

Source : https://www.itwpc.com/

Praxedo publie un livre blanc sur la « Maintenance & sécurité électronique : enjeux et perspectives »

Dans ce rapport, Praxedo, spécialiste de la gestion des interventions terrain en mode SaaS, dresse létat du marché, envisage sa nécessaire régulation et un meilleur encadrement de la profession. Quels sont les grands enjeux du secteur face à la digitalisation de la gestion des interventions des techniciens et comment optimiser leactivités dinstallation et de maintenance de systèmes de sécurité électronique ?

Le marché de la sécurité se porte bien en France. Il affiche un chiffre d’affaires de 26,5 milliards d’euros, en progression de 4,2% sur un an. C’est ce que révèle ce livre blanc, réalisé en collaboration avec le GPMSE (Groupement professionnel des métiers de la sécurité électronique).

Ce marché atomisé est en forte croissance et regroupe des acteurs très divers, depuis l’électricien de quartier jusqu’aux GAFA. Electriciens, antennistes, PME et grands groupes… des acteurs de toutes tailles et de tous horizonsrépondent à des enjeux de maintenance des équipements de sécurité électronique très spécifiques. Du bon fonctionnement des systèmes de contrôle d’accès, de vidéosurveillance ou d’alarme-intrusion dépend la sécurité des biens et des personnes. Engageant leur responsabilité, les installateurs doivent s’assurer que les dispositifs installés fonctionnent correctement 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.

Ainsi, la digitalisation de la gestion des interventions revêt une importance capitale dans la gestion des dysfonctionnements éventuels des équipements. Les techniciens sur site doivent disposer d’un niveau d’information optimal sur l’installation à maintenir afin d’assurer le dépannage dès la première intervention. Le technicien doit ainsi avoir, sur son terminal mobile, le maximum d’informations techniques sur l’équipement à dépanner.

Ce livre blanc présente également les défis à relever pour le secteur de la sécurité électronique, comme la mise en œuvre d’une règlementation spécifique pour un meilleur encadrement des compétences et des ressources. Enfin, comme tous les autres secteurs, ce rapport pointe la nécessaire transformation digitale des process de gestion d’interventions permettant d’optimiser la maintenance et rentabiliser les activités des installateurs, souvent mobiles.

>> Télécharger le livre blanc

Source : https://www.praxedo.com/

SystemX lance le projet Maintenance prévisionnelle et optimisation (MPO)

SystemX, unique IRT dédié à l’ingénierie numérique des systèmes du futur, lance au sein de son programme Industrie Agile, le projet Maintenance prévisionnelle et optimisation (MPO). Réunissant cinq partenaires industriels (Air Liquide, Apsys, EDF, EdgeMind et Safran), ce projet d’une durée de quatre ans vise à lever les verrous technologiques et méthodologiques de la maintenance prévisionnelle et de la combinaison des politiques de maintenance des systèmes de production, rendue possible par les nouvelles technologies d’intelligence artificielle, du type apprentissage automatique, et la puissance de calcul des machines, afin d’optimiser leur maintien en condition opérationnelle. Tout ceci a pour but d’adresser la maintenance basée sur l’analyse prescriptive.

Avec l’introduction massive de mécanismes de contrôle et de composants intégrant des parties logicielles, les systèmes industriels de production deviennent de plus en plus complexes. L’un des principaux enjeux actuels consiste à améliorer les méthodes et outils utilisés pour favoriser le maintien en condition opérationnelle de ces systèmes. Plusieurs solutions existent pour y répondre, notamment au travers des politiques de maintenance. Le projet MPO de l’IRT SystemX s’intéresse en premier lieu à la maintenance prévisionnelle. Celle-ci consiste à anticiper des opérations de maintenance en partant d’une analyse de l’évolution de l’état du système, et ainsi estimer sa durée de vie résiduelle et produire un pronostic sur l’occurrence des futures défaillances. Cumulée avec l’optimisation des stratégies de maintenance, cette première phase permettra ensuite de passer à la maintenance basée sur l’analyse prescriptive qui offre l’avantage de recommander les interventions de maintenance de manière à atteindre un compromis technico-économique intéressant, en limitant notamment les coûts liés à l’indisponibilité du système ou l’approvisionnement et le stockage des pièces de rechange.

« Le passage d’une politique de maintenance curative ou préventive à une politique de maintenance prescriptive présente un fort intérêt industriel car il permet à la fois de mieux planifier les opérations d’entretien et de réparation, de réduire les risques de pannes et d’arrêts non planifiés, et d’augmenter la durée de vie des équipements, explique Etienne de Pommery, Directeur du Programme Industrie Agile. Cette méthode marque une vraie rupture avec les pratiques plus classiques et intéresse beaucoup nos partenaires, dans un contexte toujours plus concurrentiel ».

Le projet MPO se concentre sur trois principaux objectifs :

Structurer la chaîne d’acquisition de données, en prenant en compte des données hétérogènes et complexes.

–  Établir les méthodes et outils liés à la chaîne complète de maintenance prévisionnelle au niveau du composant d’un système

–  Mettre en place une chaîne d’optimisation de politiques de maintenance au niveau du système industriel en développant des méthodes et outils au service de la modélisation et de la simulation de ces systèmes industriels

Enfin, au moins deux thèses seront menées dans le cadre de ce projet : « Apprentissage profond et connaissances métiers pour le monitoring et le diagnostic de défaillances à partir de données complexes massives » avec CentraleSupélec et « Regroupement dynamique de tâches de maintenance pour des systèmes multi-composants à modes de dégradation multiples » avec l’Ifsttar.

Source : https://www.irt-systemx.fr/