Weg, fournisseur mondial d’équipements électriques et de solutions d’automatisation, en partenariat avec Jacir, spécialiste en fabrication de tours de refroidissement (TAR) pour l’industrie et la climatisation a équipé les tours de refroidissements du groupe ADP à Roissy d’une solution à haut rendement. Jacir, partenaire de longue date de Weg, a préconisé l’installation de cinq moteurs électriques WMagnet en remplacement des motoréducteurs utilisés jusque là afin de répondre à la problématique de panne et de coût de maintenance des tours de refroidissement du groupe ADP.

Les pannes rencontrées étaient liées au fait que le variateur de vitesse associé à un moteur standard avec réducteur provoquait une surchauffe lorsqu’une ventilation à faible rotation de l’hélice était nécessaire. Afin d’éviter les surchauffes moteur la plage de fonctionnement du variateur était définie de 22 à 50 Hz avec une mise en veille en dessous de 22Hz et une descente de l’huile affectant la lubrification des engrenages lors du redémarrage du réducteur.

« La perte de fonctionnement des deux groupes froid liés aux TAR en panne (7 MW par TAR) et ce deux à trois fois par an devenait très problématique pour notre production, explique Gérard Dandeville, responsable maintenance chez ADP. De plus ces pannes engendraient des coûts de maintenance importants pouvant aller jusqu’à 15k€ dont les pièces de rechange ». Quatre axes prioritaires ont été définis par le groupe ADP pour le choix d’une solution de remplacement : réguler en intersaison la température d’eau froide et le fonctionnement sur toute la plage de fonctionnement y compris à basse vitesse, communiquer avec le GTC par protocole Ethernet, réduire les opérations et coûts de maintenance et répondre aux nouvelles normes concernant l’efficacité énergétique des moteurs.

Les moteurs électriques WMagnet permettaient de répondre parfaitement à ces exigences avec un rendement élevé, un couple constant sur toute la plage de vitesse et une plus grande longévité. Cette technologie de moteurs en accouplement direct sur l’hélice (permettant donc la suppression du réducteur) répondait en tous points à la problématique du groupe ADP avec des moteurs moins énergivores et beaucoup plus précis dans la régulation aéraulique pour pallier aux problèmes mécaniques fréquents et aux interventions de contrôle et d’entretiens récurrents. La solution constituée des moteurs WMagnet avec variateurs CFW11 permet au système de délivrer une puissance de 52kW à 380tr/min. Ce fonctionnement optimal sur le plan énergétique permet au groupe ADP de minimiser sa consommation d’énergie.

Source : https://www.wegfrance.news

L’Association française des cadres et ingénieurs de maintenance (Afim) représentée par son président Gérard Piot et Edoni, l’association des distributeurs, fabricants, prestataires et autres acteurs de l’univers B2B, représentée par son président Christian Rosescu, ont récemment signé un partenariat dans le but de promouvoir la standardisation des échanges de données numériques dans le secteur de la production et la maintenance afin d’en améliorer la productivité et de réduire considérablement les risques d’erreurs.

Edoni a développé un référentiel de description standardisé (Edoni 19.2) permettant à ses adhérents de gérer l’approvisionnement et la distribution des pièces de quincaillerie, des équipements industriels et des matériaux. Avec Edoni, 19.2, il est aisé de disposer des informations relatives à l’identité du fournisseur, la logistique (poids, volume, conditionnement, …), les informations techniques, la réglementation et le tarif des pièces. De prochains développements sont prévus pour étendre le périmètre du référentiel. De son côté, l’Afim, a développé depuis plusieurs années la plateforme informatique ec@t-npmi permettant la description standardisée, unique et certifiée eCl@ss, des produits industriels. Plus d’un million d’articles sont déjà référencés sur cette plateforme.

Les actions communes d’Afim et Edoni porteront sur la réalisation d’opérations de communication destinées aux membres des deux associations et le cas échéant de la presse spécialisée de la filière concernée, sur des thèmes liés à la standardisation des données.

Source : https://www.afim.asso.fr/

Un capteur adapté à 95% des tâches de détection pour ne plus choisir entre performance et compacité. Parmi les best-sellers de Sick figure le capteur de détection G6. Pas plus gros qu’un morceau de sucre et pourtant doté de performances hors classe pour sa catégorie, il a su convaincre le marché des constructeurs de machines et s’imposer comme un standard.

Depuis son lancement en 2010, la cellule de détection G6 de Sick est devenue un véritable standard dans la gamme des capteurs optiques, notamment en raison de sa robustesse mécanique. Équipé d’inserts métalliques filetés M3, pour assurer une installation mécanique sans dérive, ainsi que d’un connecteur M8 surmoulé en métal, capable de résister à de forts couples de serrage ou d’éventuels contraintes mécaniques in situ, la G6 s’installe sans souci dans des machines soumises à de fortes vibrations.

Côté format, la cellule G6 de Sick fait partie des capteurs dits « miniatures » (L12 mm x H31,5mm x P21mm pour à peine 20g). Elle s’intègre partout et facilite grandement la conception des machines. Côté design, sa face arrière transparente permet une excellente visibilité des LEDs d’état sur 180° et lui donne un look particulier et unique. Mais au-delà de ses mensurations ultra compactes et de sa conception, ce « morceau de sucre » se révèle aussi être un concentré de technologie.

Déclinée en version barrière émetteur récepteur, barrière sur réflecteur ou réflexion directe (énergétique et élimination d’arrière-plan), la G6 embarque les dernières générations de LEDs PinPoint by Sick. Parmi les trois grands bénéfices qu’offrent cette technologie : la visibilité du faisceau, sa précision et son homogénité et, enfin, des portées augmentées par rapport aux standards.

_{Photo : La famille G6 en boîtier plastique}

Source : https://www.sick.com/fr/fr/

Dimo Maint, éditeur de logiciels de GMAO et SAV annonce pour 2019 un chiffre d’affaires en progression de 12%. Une performance remarquée sur le marché. Ces résultats, Dimo Maint les doit notamment à la cohérence de sa stratégie de croissance externe et à la pertinence de ses innovations technologiques. A la clé, une année 2019 en forte progression, marquée par de beaux succès commerciaux et une belle dynamique à l’international.

Un taux de croissance soutenu pour la 10^e année consécutive

L’exercice 2018-2019 confirme l’excellente dynamique commerciale de Dimo Maint avec quatre facteurs clés :l’acquisition de plus de 200 nouveaux clients tous secteurs d’activités confondus, l’accélération des ventes en mode Cloud, soit 1 nouvelle vente sur 2, la poursuite de son développement à l’international avec près de 45% des ventes réalisées à l’export et l’ouverture d’un bureau en Malaisie et, enfin, l’intégration réussie des acquisitions et la fidélisation des collaborateurs qui ont rejoint le projet.

« Nous ne changeons pas de cap, avertit Jean-Paul Genoux, directeur général de Dimo Software et de sa filiale Dimo Maint. Notre ambition est toujours de faire progresser notre chiffre d’affaires à un rythme soutenu pour atteindre 15 millions d’euros d’ici 2022. Cela se fera en fidélisant notre clientèle sur des solutions toujours plus innovantes (cloud, mobilité, IoT, maintenance prévisionnelle, BIM, réalité augmentée…), en développant le nombre d’utilisateurs de nos logiciels, mais aussi en réalisant des acquisitions ciblées. Nous souhaitons devenir un éditeur référent mondial sur le marché des solutions de gestion de la maintenance. » 

Source : https://www.dimosoftware.fr