Vers des solutions de gestion de stocks plus automatisées
Dans le contexte douloureux que les entreprises traversent, si celles-ci doivent tout faire pour remettre leur production en route et stimuler la demande, elles devront dès que possible investir dans les nouvelles technologies, à commencer par des solutions d’intralogistiques visant à fluidifier les flux de production et optimiser la gestion des magasins de pièces de rechange.
C’est du moins l’avis de William Fleuriot, directeur commercial de la filiale française de SSI Schaefer, spécialiste allemand de l’intralogistique – allant du simple bac à boulons aux solutions les plus complexes et automatisées ; « avant la crise, l’industrie était déjà tournée vers des solutions automatisées dans le but de servir des clients de façon plus rapide et plus précise, en réduisant au maximum le nombre d’erreurs ».
En matière de solution pour la gestion des pièces détachées et des pièces de rechange, le principal sujet de réflexion tourne toujours autour de la volumétrie. C’est à partir de celle-ci que l’on détermine ses besoins ; « chez Schaefer, on analyse la volumétrie et le niveau d’exigence en matière de performance attendues avant de proposer la moindre solution. Nos systèmes vont de l’organisation des zones de préparation de stockage avec des systèmes de rayonnages palettes par exemple, à des solutions plus automatisées visant à optimiser les flux et à réduire les déplacements des préparateurs de commande. En outre, certains de nos clients désirent ensuite monter en gamme avec une armoire automatique dotée de convoyeurs mécanisés et, en bout de chaîne, un système d’emballage et d’expédition automatisé ». Chose est sûre pour le directeur commercial, « seules les entreprises disposant d’une logistique performante et d’une gestion des flux 2.0 ont pu tirer leur épingle du jeu ».
En cela, la gestion des pièces détachées demeure un élément déterminant en ces temps de crise mais aussi pour répondre à des marchés de plus en plus exigeants. Car ces dernières années, les industriels n’ont cessé de réduire leurs stocks. Aujourd’hui, l’heure est à l’automatisation dans la mesure où celle-ci permettra sans nul doute, combinée à d’autres solutions d’industrie 4.0, de gagner des parts de marché en augmentant les volumes de ventes et en réduisant les erreurs de préparation de commande. « N’oublions pas qu’optimiser l’outil de production permettra inévitablement de grossir les marges, ce qui demeure, y compris après la crise, le nerf de la guerre ».
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