Emerson propose une solution de protection vibratoire basée sur le système AMS 6500 ATG qui est au début de son cycle de vie produit. Ce système est certifié SIL2 et conforme à la norme API 670.

Cette offre comprend également le nouveau logiciel d’analyse et de diagnostic vibratoire AMS Machine Works sous forme d’une licence gratuite la première année.

Une remise de 40% sera appliquée sur le système AMS 6500 ATG pour toute commande passée avant la fin de l’année 2021.

Contactez Pascal Sari au 07 86 23 25 74 ou par mail : pascal.sari@emerson.com

Avec l’entrée au capital d’Encevo et de Noshaq, Ewattch va pouvoir rapidement renforcer sa présence et son développement en Europe. La start-up compte également accélérer le recrutement de ses équipes commerciales. En outre, cette opération permet d’intensifier les développements R&D et ainsi augmenter sa longueur d’avance face à la concurrence. Plusieurs partenariats stratégiques sont également en cours de finalisations.

Pour rappel, Ewattch est une entreprise vosgienne. Celle-ci développe des solutions packagées et évolutives, composées d’une plateforme IoT et d’une gamme de capteurs industriels, qui permettent de répondre aux besoins de l’industrie 4.0, du SmartBuilding et du Smart Grid.

Une start-up qui a su séduire deux investisseurs pour sa technologie et son rôle dans l’efficience énergétique

Avec une forte influence sur le territoire belge, le groupe Noshaq a souhaité investir dans la société. Le fonds est en effet convaincu de la pertinence de proposer des solutions simples à déployer pour rentrer rapidement dans l’industrie 4.0. Pour Dimitri Liquet de Noshaq, « Chez Noshaq, nous sommes fiers de pouvoir participer au développement d’une société déjà présente dans notre environnement et qui facilite la transition digitale de nos entreprises. ».

De son côté, Encevo en tant qu’acteur dans la transition énergétique, a choisi d’investir au capital car « Ewattch fait partie de notre écosystème et permet de développer l’efficience énergétique des acteurs économiques qui nous entourent », explique Monsieur Laurent Magi d’Encevo. « Les solutions d’Ewattch s’insèrent parfaitement dans notre offre de services pour accompagner nos clients dans l’amélioration de leur performance opérationnelle et l’efficacité énergétique ».

La division Industrie de Spie Industrie & Tertiaire, filiale française du groupe Spie, lance Fabloop en France pour aider les industriels à relever leurs challenges de l’industrie 4.0. L’offre de Smart Data Management sur-mesure « Fabloop », repose sur un constat simple : le passage à l’industrie 4.0 doit s’opérer avec des experts des process industriels. « La division Industrie dispose d’une connaissance fine d’une grande variété de process, héritée de notre longue expérience aux côtés des industriels. C’est parce que nous parlons le même langage que nos clients, que nous pouvons les accompagner dans leurs décisions stratégiques d’exploitation ainsi que dans leurs transitions énergétique et numérique, en toute sécurité », souligne Fréderic Toussaint, directeur général de la division Industrie de Spie Industrie & Tertiaire.

Une réponse co-construite avec le client

Fabloop permet de répondre aux enjeux des industriels en associant la puissance d’une plateforme digitale sécurisée à une méthode de co-construction, articulée autour du client, de ses besoins, de son process et de sa problématique industrielle. La division Industrie de Spie Industrie & Tertiaire a ainsi constitué une taskforce dédiée pour accompagner ses clients dans leur transformation industrielle. En embarquant les nombreuses parties prenantes d’un tel projet (directeurs maintenance, directeurs technique, directeurs travaux neufs, DSI, directeurs de l’innovation, directeurs d’exploitation, directeurs de production…), cette taskforce permet la mobilisation de l’intelligence collective.

Convaincue que la meilleure solution naît d’une réflexion associant des profils variés, Spie réunit experts de la donnée et experts des process pour élaborer avec le client la solution la plus simple et la plus performante pour son exploitation. « Après avoir mené une étude sur l’offre numérique existante à destination des industriels, la division Industrie a conçu en partenariat avec Spie ICS, filiale de services numériques de Spie France, une solution pionnière, capable d’interagir avec l’ensemble des systèmes numériques industriels et répondant à de nombreux critères : adaptabilité à l’environnement IT du client, pérennité des softs et des développements, déploiement mono ou multisites… et ce, dans le respect des contraintes de cybersécurité », précise Jérôme Morisson, directeur Solutions & Expertise au sein de la division Industrie de Spie Industrie & Tertiaire.

Le ROI, principal indicateur de performance

Fabloop, le nom est nouveau mais la méthode a déjà été approuvée par de nombreux industriels issus notamment des secteurs de l’énergie, de l’aéronautique ou encore de l’agroalimentaire. Si les secteurs varient, l’objectif reste le même : mettre en œuvre la meilleure solution qui permettra de proposer un ROI efficient. À titre d’exemple, la division Industrie a permis à l’un de ses clients du secteur de l’agroalimentaire de supprimer 100% des incidents de mélanges, et à un autre client de l’aéronautique de diminuer sensiblement les arrêts de chaine de production par anticipation des pannes critiques.

En intégrant cette logique de ROI dès le travail de co-construction, les équipes de la division Industrie sélectionnent, adaptent ou créent avec le client la meilleure solution technico-économique pour répondre à leurs enjeux et besoins. C’est ainsi que pour un client du secteur de l’énergie, les experts Spie, spécialistes du process, de la data et de la robotique, réunis en atelier avec le directeur du projet et le directeur du système d’information du client, ont ajusté la réponse technique pour la rendre plus simple dans une logique de moindre coût, proposant ainsi un ROI optimisé de 30%.

C’est plus qu’un symbole pour fêter les 10 ans de Mecateamcluster et le retour à la « normalité » après dix-huit mois de crise sanitaire. Avec un nombre de participant quasi doublé par rapport à 2019, les Mecateameetings confirment leur succès et leur attractivité auprès des professionnels des chantiers ferroviaires. Ils sont venus de toute l’Europe pour assister au seul événement qui combine convention d’affaires, exposition et démonstration de matériels de travaux ferroviaires sur voie. Surtout, le nombre de donneurs d’ordre explose. Ils étaient une cinquantaine en 2019. Ils étaient près de 200 cette année. Parmi eux, une centaine de représentants de SNCF Réseau, gestionnaire du réseau français.

Les gestionnaires de réseaux étrangers étaient aussi présents tels Infrabel, les Chemins de Fers Fédéraux suisses… La Suisse, pays à l’honneur cette année, a mobilisé une vingtaine de sociétés. Une conférence menée par le Swiss Business Hub France a permis aux professionnels français de mieux comprendre les attentes et besoins du marché suisse pour de futurs partenariats commerciaux coordonnés par Mecateamcluster.

Exposition et la démonstrations de nouveaux engins dédiés aux travaux ferroviaires

La force de ce nouveau format des Mecateameetings est surtout l’exposition et la démonstration de nouveaux engins dédiés aux travaux ferroviaires. Les innovations des différents constructeurs ont pu être révélées, ouvrant ainsi de nouvelles perspectives commerciales.

ACX Construction Ferroviaire a présenté un nouvel engin de levage/manutention. C’est la seule machine rail/route qui peut soulever en une fois un panneau de voie de 18 m comprenant rails et traverses. « Cet engin est en cours d’homologation, précise Benoît Avenel, PDG de ACX. Grâce à la notoriété des Mecateameetings, il est déjà convoité par des sociétés australiennes. »

Le Suisse Wascosa, en partenariat avec Les Ateliers de Joigny, a exposé sa ballastière nouvelle génération entièrement automatisée avec trois positions de déchargement radiocommandées et éclairage à 360°. L’objectif ? Renforcer la sécurité des personnels sur des chantiers qui se déroulent essentiellement la nuit. « Nous sommes ravis d’avoir signé pendant les Mecateameetings un contrat de location longue durée de trente ballastières avec Transalp Renouvellement » se réjouit Luc le Formal, directeur de Wascosa France.

Le groupement d’entreprises belges CML Industries et Daxi, suivant les consignes du cahier des charges d’Infrabel, a révélé son nouveau wagon de chargement/déchargement de rails automatisé. « Nous avons fait l’acquisition de huit wagons d’une capacité maximale de 27 rails chacun, révèle Alain Fayt, ingénieur principal chez Infrabel. Nous allons ainsi gagner en sécurité et en productivité : un seul professionnel est mobilisé pour toutes les opérations. »

« Le succès de cette 5e édition des Mecateameetings confirme que la plateforme Mecateam de Montceau-les-Mines est parfaitement adaptée pour accueillir ce type d’événement, se félicite Frédéric Debleds, directeur général de Mecateamcluster. Les participants nous confirment la pertinence du concept. Nous comptons ainsi nous ancrer de manière définitive et durable dans ce format de salon en plein-air. » Rendez-vous est déjà donné pour la prochaine édition en septembre 2023 !

D’une surface de 30 000 m² déployée autour d’un site de formation historique, Campus Transfo réunit 250 spécialistes, chercheurs et formateurs avec un pôle d’expertise unique en Europe sur le courant continu. Cette technologie est en effet indispensable pour le raccordement de parcs éoliens offshore ou encore le développement des interconnexions entre les pays. De plus, le site abrite notamment des reproductions du contrôle-commande des lignes électriques transfrontalières ; par exemple entre la France et l’Espagne, la France et l’Angleterre ou entre la France et l’Italie, dont la mise en service est prévue en 2022.

Un concept unique de collaborations

Campus Transfo développe un concept unique de collaborations entre formateurs et ingénieurs-experts. Celui-ci se dote en effet de dispositifs pédagogiques conçus en lien direct avec les ingénieurs et spécialistes des technologies grâce à la mutualisation de leurs plateformes et simulateurs. Au total, plus de 450 000 heures de formation seront ainsi délivrées sur ce site et plus de 7 000 stagiaires sont attendus chaque année.

Pour un accès à une électricité sûre et décarbonée

Campus Transfo permettra de partager les technologies développées et utilisées par RTE avec ses homologues gestionnaires. Parmi eux figurent les réseaux européens et l’ensemble des acteurs du secteur de l’énergie et du monde numérique (Instituts de recherche, pôles de compétitivités, universités et grandes écoles, etc.).

« Le réseau de transport d’électricité est une infrastructure centrale dans la mise en œuvre de la transition énergétique, précise Xavier Piechaczyk, président du directoire de RTE. Il doit et devra tenir sa promesse de garantir à tous, et à tout moment, l’accès à une électricité sûre et décarbonée. C’est une aventure industrielle et humaine qui impliquera de développer des technologies de pointe et les compétences associées. À ce titre, Campus Transfo est un atout majeur pour RTE. »

Antoine Legros, président du groupe Institut de Soudure et Antonietta Specogna, directrice de l’IUT Thionville-Yutz, ont inauguré cette nouvelle formation le 20 septembre dernier, en présence d’élus et de Thibaut Guilluy, haut-commissaire à l’Emploi et à l’Engagement des entreprises auprès d’Elisabeth Borne.

Grâce à cette licence, le groupe Institut de Soudure structure ses deux filières de formation par alternance, en CND et en soudage, pour couvrir tous les différents niveaux de diplômes. Dans le détail, la filière CND compte désormais cette nouvelle licence professionnelle de niveau3/bac+3 qui s’ajoute à la mention complémentaire de niveau 4/bac+1 et au titre professionnel de niveau 3-4/infrabac.

Institut de Soudure, partenaire historique de l’IUT Thionville-Yutz

Le groupe peut se féliciter de la réussite des deux mentions complémentaires en soudage et en CND lancés en septembre 2019 à Villepinte (Seine-Saint-Denis), puis en septembre 2020 à Yutz (Moselle). Avec 100 % de réussite aux examens, 80 % des stagiaires sont embauchés à l’issue de leur formations et 20 % poursuivent leurs études.

La licence est le fruit à la fois d’un parcours historique du groupe en Lorraine, et d’un rapprochement avec le monde universitaire, tant pour l’enseignement que pour la recherche. « Nos écoles de spécialisation en soudage, l’ESSA et l’EAPS, installées à Yutz, forment des techniciens et des ingénieurs en soudage reconnus dans le monde entier, indique-t-on au sein de l’IS. Elles y côtoient le centre de recherche du groupe, dédié au développement et au transfert de technologies et méthodes, notamment dans les domaines du soudage et des techniques de CND ».

L’université de Lorraine dispense cette licence en formation initiale au sein du campus de l’IUT Thionville-Yutz, avec des formations pratiques assurées par les équipes régionales du Groupe Institut de Soudure depuis 2004.

Non, Moneo n’a rien à voir avec le moyen de paiement électronique lancé il y a vingt ans en France. Le starterkit moneo d’ifm se présente plutôt sous la forme d’un coffret complet composé de matériels et d’un logiciel adaptés à la maintenance préventive conditionnelle. Ses domaines d’application : les moteurs de ventilateurs, les pompes et de nombreuses autres machines. Développée par ifm, cette solution autonome est simple à mettre en œuvre et évolutive sans avoir besoin d’expertise informatique. 

Diagnostiquer simplement les phénomènes avant d’intervenir

L’intérêt de moneo starterkit réside dans la mise en service rapide et des composants déjà préconfigurés. Concrètement, la plateforme logicielle utilise la puissance des informations numériques générées directement par les capteurs IO-Link intelligents et les met à disposition pour la prise de décision. Elle alerte sur la nécessité d’agir et avertit avant qu’il ne soit trop tard et permet de diagnostiquer simplement les phénomènes avant d’intervenir. 

Grâce à la possibilité de combiner, d’analyser et de visualiser clairement les valeurs process ou d’état de santé des équipements, en quelques clics seulement, l’ensemble des données peut être consulté à distance et à tout moment. Inutile d’être sur constamment derrière son écran, le système d’alarme avertit par e-mail dès qu’un évènement hors norme se produit. La solution Moneo ne s’arrête pas là, elle permet également, depuis la même interface et avec la même simplicité et ergonomie, de paramétrer les capteurs en quelques clics. Enfin, Moneo a la faculté d’évoluer toujours en quelques clics aussi bien en termes de fonctionnalités, de types d’utilisateurs que de nombre d’équipements monitorés.

Cette masterclass digitale, qui aura lieu le 30 septembre à 11 heures, a pour objectif de transmettre des conseils concrets aux industriels, afin de répondre à un enjeu essentiel : comment optimiser efficacement sa performance industrielle à l’ère de l’Industrie 4.0 ? L’échange durera 45 minutes et sera axé autour de la réalité augmentée et réalité mixte pour aider les industriels sur plusieurs points.

Tout d’abord, ce webinar leur permettra de comprendre pourquoi la réalité augmentée / mixte peut pour faire performer les équipes terrains au quotidien avec les lunettes HoloLens 2 de Microsoft. Ensuite, il vise à leur faire apprendre les modes opératoires à digitaliser en réalité augmentée, et réplicables sur tous les secteurs industriels, pour atteindre l’excellence opérationnelle et être rentable sur le long terme avec Spectral TMS. Enfin, il mettra en avant le retour d’expérience de Legrand (leader mondial des infrastructures électriques) pour obtenir des conseils essentiels afin de lancer son projet de réalité augmentée et optimiser sa performance industrielle.

La réalité augmentée / mixte comme fer de lance de l’Industrie 4.0

Le secteur industriel a accéléré sa transformation numérique pour entrer dans la nouvelle ère de l’Industrie 4.0. La réalité augmentée / mixte s’impose de plus en plus comme la technologie au service de l’Industrie, capable d’accompagner, de guider, de former et de sécuriser le technicien de maintenance sur ses opérations industrielles.

Spectral TMS en profite pour s’imposer comme le chef de fil de la réalité augmentée industrielle, avec une solution permettant à ses clients d’atteindre l’excellence opérationnelle partout dans le monde. Pour ce faire, la start-up favorise le partage et le transfert de connaissances, la formation et la digitalisation des processus et souhaite en faire une masterclass digitale ouverte aux industriels de tous secteurs.

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À l’occasion du salon Global Industrie Lyon qui a fermé ses portes le 9 septembre, Dative, filiale du groupe Gérard Perrier Industrie, et Asystom, société de référence dans la maintenance prévisionnelle pour l’industrie 4.0, ont signé un contrat de partenariat visant à intégrer la solution Asystom au cœur de la plateforme de monitoring industriel Dative.

Asystom a conçu une solution universelle, clé en main et autonome pour le contrôle d’équipements industriels et la prévention de pannes. Objectif ? Améliorer la rentabilité des unités de production en évitant les arrêts non programmés. Cette solution comprend la prise de mesure via des balises multi-capteurs externes (intégrant jusqu’à 9 paramètres physiques), la détection d’anomalies par la surveillance de l’état de santé d’une machine et des dérives par rapport à son empreinte initiale de fonctionnement, le transfert en temps réel de données autonome et sécurisé, le stockage des données sur serveur, ainsi que l’ensemble des outils d’alerte et de diagnostic de fonctionnement. Elle s’appuie sur des produits innovants : les balises multi-capteurs, entièrement développées par les équipes R&D internes. Non-intrusives et compactes, ces balises se positionnent directement sur les équipements à surveiller, sans modification de l’appareil et sans câblage supplémentaire.

Quant à Dative, cette ETI familiale spécialisée dans le génie électrique, l’électronique et les automatismes industriels développe et déploie DAT’Process. Il s’agit d’une plateforme de monitoring et d’analyse de données clés pour l’optimisation des process industriels, telles que le suivi machine et la performance énergétique. Cette solution repose comme tous les logiciels Dative sur une plateforme Middleware propriétaire et modulaire, DAT’Acquisition, permettant l’agrégation, le décodage et le traitement de données multi-sources et multi-protocoles. L’intégration de la balise et de briques de prétraitement Asystom au sein de DAT’Acquisition permet aux deux sociétés de proposer une solution complète aux industriels, incluant la maîtrise de l’analyse vibratoire et d’autres paramètres clés tels que les ultrasons et la température, dans une plateforme optimisée disponible à la fois sur le Cloud ou on-premise.

Airbus CyberSecurity et Alstom, leader mondial de la mobilité durable, ont signé un accord de coopération mondial axé sur la cybersécurité du transport ferroviaire. « Dans le contexte de l’augmentation des cybermenaces mondiales dans tous les secteurs, Alstom a pour objectif de protéger ses actifs et ceux de ses clients aussi efficacement et aussi tôt que possible, déclare Eddy Thesee, vice-président de la cybersécurité chez Alstom. La collaboration entre Alstom et le spécialiste éprouvé Airbus CyberSecurity garantira l’utilisation future et le succès de la mobilité verte dans le monde entier ».

« En tant que spécialiste de la cybersécurité des systèmes industriels, notamment dans le secteur des transports, nous sommes désireux de contribuer à la sécurisation des systèmes d’information du secteur ferroviaire aux côtés d’Alstom », ajoute Nicolas Razy, directeur d’Airbus CyberSecurity France.

Des compétences très complémentaires

Airbus CyberSecurity contribuera aux offres conjointes avec des services et des solutions de surveillance de la sécurité des systèmes ferroviaires à travers ses différents centres d’opérations de sécurité (SOC) et de réponse aux incidents. Elle contribuera également aux services d’audit de sécurité et aux tests de pénétration et d’intrusion, notamment par le biais de sa plateforme de simulation et de test pour les systèmes industriels, CyberRange.

Alstom apporte au partenariat ses connaissances en matière de conception, de fabrication, d’exploitation et de maintenance des systèmes ferroviaires. Le leader mondial du rail numérique s’appuiera également sur son expertise unique en matière de cybersécurité ferroviaire, développée ces dernières années. Dans le monde entier, Alstom compte plus de 13 000 employés travaillant sur la numérisation du secteur ferroviaire, notamment dans les domaines de la technologie de signalisation, de la mobilité intelligente et de la cybersécurité.

Ces dernières années, les entreprises ferroviaires ont développé des stratégies numériques ambitieuses, notamment pour faire face à l’augmentation du nombre de passagers. Elles ont déployé et interconnecté des systèmes d’information combinant informatique, technologie opérationnelle (OT) et Internet des objets (IoT) dans les systèmes de gestion et de contrôle des trains, métros et tramways, les systèmes de signalisation des voies et les centres de contrôle des opérations ferroviaires. Pour protéger leur actif et assurer une mobilité sûre et sécurisée à leurs clients, les entreprises ferroviaires pourront s’appuyer sur des solutions adaptées à leur secteur par Alstom et Airbus CyberSecurity.