Les EPI contre la grippe aviaire
Actuellement, on en parle presque chaque jour : le virus de la grippeaviaire se propage lentement, mais sûrement et touche des oiseaux et desvolailles un peu partout dans le monde. Cette maladie animale contagieused’origine virale est liée à l’espèce etn’affecte généralement que les oiseaux. L’inquiétudepublique augmente néanmoins petit à petit. Le risque de contagionhumaine n’est pas totalement exclu, mais il existe surtout chez lespersonnes en contact direct avec les volailles. La prévention et laprotection constituent donc des éléments-clés dansl’approche de cet actuel problème sanitaire.
Le spécialiste européen de la sécuritéVandeputte Safety remarque que ses clients se posent chaque jour plus dequestions à ce sujet. Une bonne connaissance de l’approchepréventive globale, ainsi qu’une information correcte sur le portobligatoire des équipements de protection individuelle (EPI) et sur lestypes d’EPI prescrits par l’OMS et les autorités nationaleset européennes s’avère donc fondamentale.
Un maillonimportant.
Il va de soi que la lutte et la protection contre le virus de la grippeaviaire nécessitent différentes approches. L’uned’entre elles est le port d’ équipements de protectionindividuelle. L’utilisation correcte de tels EPI est en effet un maillonessentiel dans la prévention de la propagation des virus contagieux.
Chaque personne qui, d’une manière ou d’une autre, entreen contact avec des animaux infectés est obligée de porter unéquipement de protection complet composé d’une paire delunettes protectrices, d’un masque antipoussières (au moins du typeEN-149 : Type FFP2), d’une solide paire de gants imperméablesaux liquides, d’une salopette de travail à usage unique et debottes. Les propriétaires, collaborateurs et habitantsd’entreprises infectées, les vétérinaires, lesestimateurs et les personnes directement concernées par leséliminations et par la destruction, mais aussi les chauffeurschargés du transport de volailles infectées ou suspectes et lescollaborateurs de laboratoires concernés par la chaîne animaledoivent pouvoir disposer d’EPI fiables.
Protection dela tête aux pieds.
Vandeputte Safety propose des EPI adaptés, allant de la protectionstandard à la protection spéciale en cas de contact physique età la protection contre les infections aéroportées outransmissibles par des gouttelettes. Les EPI obligatoires comportent, entreautres, des lunettes de sécurité chimique ou de protectionadaptables à la taille de la tête et à porter sinécessaire au-dessus des lunettes de correction. Pour la protectionrespiratoire , l’OMS conseille différents types de masquesantipoussières à usage unique suivants la norme EN-149 :FFP2 (ou mieux encore FFP3) ou des masques réutilisables avec desfiltres antipoussières conformes à la norme EN-143 :P2 ( oumieux encore, P3)
Des gants robustes et imperméables aux liquidessont également indispensables. Il est très important de choisirle bon matériau et la bonne taille ; la protection offerte par lesgants est uniquement efficace lorsqu’ils sont suffisamment longs pourpouvoir les glisser, à la hauteur du poignet, sous la manche du bleu detravail.
Il existe 3 types de salopettes de travail, à porter en fonction du travail à effectuer :
- Les salopettes jetables de Type 5 + Type 6, comme le Tyvek® Classic (DuPont) et le Micromax (Lakeland), conviennent pour les contrôles de routine des volailles. Le matériel empêche l’intrusion de particules avec un diamètre allant jusqu’à 1 µm.
- Encore meilleurs sont les salopettes dont les coutures piquées sont également protégées par du ruban adhésif comme le Tyvek Classic Plus et le Micromax TS (tous deux type 4 et disponibles avec ou sans overshoes). Ceux-ci sont idéaux pour les cas où il existe un danger d’entrer en contact avec des excréments ou d’autres substances potentiellement contaminées, et ce sous basse pression. Un tablier supplémentaire en Tychem C est recommandé.
- Lorsqu’il est toutefois question d’un contact possible avec des excréments ou une autre substance contaminée sous haute pression, le port d’une salopette Tychem® C avec capuchon est conseillé, à nettoyer après usage à l’aide du produit désinfectant Virkon® S. Si d’autres produits désinfectants toxiques sont utilisés après la période de contact, le port d’une salopette en Tychem® F est requis. Le matériau Tychem® F offre une barrière protectrice encore plus efficace que Tychem® C, mais les deux ont été testés avec succès en tant que vêtements de protection contre les virus.
Source : https://www.vandeputtesafety.com
Contact : info@vdp.com
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