Les vérins Eaton XL aident les tendeurs d’amarrage à résister à des conditions brutales

En raison des conditions offshore brutales de l’application, un fabricant des tendeurs d’amarrage s’est tourné vers son partenaire technologique de longue date Eaton et ses vérins hydrauliques XL de haute qualité. Ayant travaillé ensemble pendant plus de deux décennies, le client savait qu’Eaton tiendrait ses promesses. La volonté de collaborer à des conceptions personnalisées, ainsi que l’expertise en matière de fabrication, les technologies exclusives et les solutions de haute qualité, ont fait d’Eaton le premier choix du client.

« La tranquillité d’esprit était essentielle pour notre client, commente Peter Claessens, responsable du support client et de la chaîne d’approvisionnement. Compte tenu de notre relation de confiance, ils savaient que l’on pouvait compter sur nous pour assurer leur succès et celui de leurs parties prenantes en tant que l’un des principaux fabricants de grands vérins au monde. »

Performance et fiabilité

Grâce à leurs performances et à leur fiabilité, les vérins hydrauliques XL d’Eaton trouvent leur place dans certaines des applications les plus difficiles au monde, dans des secteurs exigeants comme le pétrole et le gaz, l’exploitation minière, l’hydroélectricité, etc. « Le navire FLNG joue un rôle crucial dans le projet offshore très médiatisé que soutenait notre client, poursuit Peter Claessens. Tout problème de stabilité du navire pouvait perturber l’ensemble du projet, créant non seulement des problèmes de sécurité, mais aussi une perte considérable de temps et d’argent pour toutes les parties concernées. C’était à nous de faire en sorte que cela ne se produise pas. »

Les enjeux étaient élevés, mais les exigences du client ont également créé des défis techniques uniques. Eaton a dû fournir une solution sur mesure pour le système d’amarrage inhabituel compensant le mouvement des vagues, où les cylindres XL étaient dans une orientation horizontale atypique. En outre, la solution d’Eaton devait résister à des conditions brutales. Peter Claessens explique que « le défi n’était pas seulement l’exposition continue à l’eau salée et aux embruns, mais aussi au sable du désert du Sahara soufflé par des vents violents. Les opérations du projet devant durer jusqu’à trois décennies, la solution d’Eaton devait non seulement être performante, mais aussi incroyablement résiliante. »

Le 2e Rail Innovation Challenge récompense une technologie acoustique de détection de défauts

Knowing every meter of the track remporte le premier prix de la deuxième édition du Rail Innovation Challenge – soit un an de voyage sur le réseau SNCF en Europe. Les deux étudiants de la TU Berlin ont proposé un dispositif technologique innovant, sorte de « Shazam du rail ». En effet, celui-ci permet d’identifier une anomalie par son empreinte acoustique. Grâce à un système d’écoute très pointu, il serait donc possible de déterminer le type de défaut subi par les rails : joints défectueux, usure du matériel, etc. Ce projet permettra ainsi d’assurer la sécurité du réseau grâce à l’acoustique

Respectivement deuxième et troisième, les deux autres lauréats Buddi et Lumno se sont distingués par d’autres technologies. La première (UTC Compiègne) porte sur un pass interails unique. La seconde (ECITV) concerne une lumière désinfectante pour détruire bactéries et virus dans le métro. 

Succès de l’édition 2021 du Rail Innovation Challenge

Fort du succès de la première édition 2020, Fer de France a renouvelé cette année son challenge à destination des étudiants. L’objectif ? Les faire réfléchir au monde ferroviaire de demain. Cette année, le Challenge a connu un fort attrait avec plus de 140 dossiers déposés par des étudiants de dix-neuf pays. Les trois thématiques de réflexion portaient sur les trains et les infrastructures de demain, le ferroviaire post-Covid et l’expérience mobilité de demain.

Méthodes maintenance & GMAO : un duo gagnant chez Actemium Maintenance Belfort

À l’occasion du Sepem Industrie Est qui s’est déroulé du 15 au 17 juin dernier à Colmar, David Libor, responsable Méthodes chez Actemium Maintenance Belfort, nous a fait part de son expérience GMAO.

Le groupe Precia Molen finalise l’acquisition de l’éditeur de MES Creative IT

Comme déjà évoqué il y a quelques mois sur notre site Web, le groupe Precia Molen, concepteur et fabricant de solutions de pesage de dimension internationale, a finalisé l’acquisition de Creative IT. L’éditeur devient ainsi la filiale spécialisée dans les solutions pour l’Industrie 4.0 du groupe français. Cette opération permet à Precia Molen de prendre le virage de la valorisation de la data en proposant de nouveaux services numériques autour de ses produits (ponts-bascules, plateformes de pesage, trieuses pondérales …). C’est une évolution stratégique que préparent les constructeurs de machines et d’équipements de production encouragés en cela par les syndicats professionnels comme la FIM ou le Symop.

Pour René Colombel, président du directoire Precia Molen, « notre vision stratégique consiste à accompagner les industriels dans la maîtrise de leurs process opérationnels que ce soit bien sûr avec les systèmes de pesage qui constituent le cœur de métier originel de Precia Molen, mais aussi avec les outils numériques qui collectent et analysent les données process au service de la performance industrielle ». Et d’ajouter : « Tout cela se fera dans une logique d’ouverture aux standards de communication internationaux comme OPC, MQTT, IO-Link. Notre logique n’est pas du tout de concevoir des systèmes propriétaires pour contraindre les industriels dans leurs choix de matériels et de logiciels ».

Quelles perspectives de croissance pour Creative IT ?

Ce rapprochement avec Precia Molen ouvre également de nouvelles perspectives pour Creative IT que ce soit en matière de développement commercial (y compris hors de France) que de co-développement de nouvelles solutions verticales ; Precia Molen se positionne notamment sur des secteurs tels que l’environnement, l’extraction, l’énergie ou encore l’agro-industrie. Mais « cette évolution s’opère dans la continuité, comme le précise Hervé Guerrin, directeur général de Creative IT. Nous conservons notre stratégie marketing, notre politique commerciale, notre équipe de management et tous les éléments qui ont nous conduit à la réussite de la solution Qubes ».

Toujours dans sa volonté d’ouverture l’équipe dirigeante de Precia Molen précise que « Creative IT poursuivra son développement sur ses marchés actuels y compris sur les secteurs industriels qui sont moins utilisateurs de systèmes de pesée comme la mécanique, l’électronique, la plasturgie où la solution Qubes compte de nombreuses réussites clients ».

De nouvelles synergies attendues

Les prochains salons comme Global Industrie (…) permettront de présenter les synergies entre les deux offres et de montrer comment les systèmes de pesées sont non seulement essentiels pour la maitrise du process et des coûts industriels mais peuvent devenir stratégiques pour l’amélioration continue des sites de production. Les équipes des deux entreprises se félicitent de ce rapprochement qui saura dynamiser chacune des entités.

Verbatim
« Creative IT devient la tête de pont du groupe Precia Molen dans son approche de l’Industrie 4.0 avec les offres MES, Industrial IoT, réalité augmentée, intelligence artificielle ou encore big data industriel. Rappelons que Creative IT a été le premier acteur à proposer une solution MES en mode SaaS avec Qubes 4Cloud. Cette dynamique d’innovation se poursuit d’ailleurs en 2021 et restera la marque de fabrique de Creative IT »

Pourquoi Terreal se lance dans la digitalisation de ses sites de production

Afin de répondre à un objectif d’amélioration continue de la performance de ses lignes de production et de la qualité de ses produits, Terreal s’est lancé dans la transformation digitale en 2018. Parmi les nombreux projets menés, l’entreprise teste actuellement la solution Asystom Predict d’Asystom, start-up audoise spécialisée dans la maintenance prévisionnelle pour l’industrie. Le dispositif, qui a déjà fait ses preuves sur le site de Rieussequel, est désormais en test sur les sites de Ségala, Colomiers et Saint-Martin-Lalande.

S’adapter aux multiples particularités de l’environnement industriel de Terreal

Après une première phase « proof of concept » menée en 2019 sur le site de Rieussequel (Tarn) où sont fabriqués des produits de façade, le dispositif connecté Asystom Predict fait l’objet d’une expérimentation sur trois autres sites. Cette solution Cloud utilise un réseau sécurisé LoRa et permet de détecter toute anomalie afin de prévenir les pannes grâce à une balise intelligente placée directement sur les équipements. Le système de maintenance prévisionnelle peut connecter un nombre illimité d’IoT de façon non intrusive sur l’ensemble d’un site pour collecter et analyser les données de fonctionnement des machines. Les anomalies sont alors révélées à partir de la déviation de certaines mesures telles que les vibrations, les ultrasons, les chocs, la pression, l’humidité, les températures ainsi que des données plus poussées liées à la lubrification. Les capteurs remontent la data jusqu’à l’opérateur, qui reçoit une alerte afin d’effectuer une maintenance avant la panne.

« Notre objectif est de pouvoir définir des tendances prédictives, de comprendre les phénomènes générant des défauts et ainsi de déterminer les tâches sur lesquelles nous devons agir pour améliorer le processus et le produit final, détaille Jean-Frédéric Dalmasso, responsable développement Procédés mécaniques au sein de la direction technique et innovation de Terreal. La data est de plus en plus présente dans nos métiers, et nous nous en servons, en lien avec les ingénieurs process et le service informatique, pour améliorer tous les procédés liés à la terre cuite tels que l’extrusion, le pressage, la rectification, etc. »

De son côté, André Naccache, Managing Director d’Asystom précise que « les usines du groupe Terreal comprennent de nombreuses machines dont le fonctionnement optimal est essentiel pour maintenir le haut niveau de qualité de leur production. Tout l’enjeu était donc de démystifier l’innovation dans ce secteur de la maintenance industrielle afin que les équipes puissent adopter et s’approprier rapidement notre solution. Sur ce point, les premiers résultats s’avèrent être positifs, avec plus de quatre incidents détectés et diagnostiqués ».

Améliorer la performance industrielle avec le digital

Depuis son installation sur le site de Rieussequel, le système a déjà permis de déceler des dysfonctionnements. Ceux-ci auraient pu entraîner des arrêts de production ainsi que de la maintenance curative coûteuse. Parmi eux figure la découverte d’un arbre cassé du réducteur de la mouleuse pour la fabrication de plaquettes de terre cuite, évitant ainsi deux à trois jours de perte de production. Aussi, le diagnostic de resserrage d’un roulement sur un ventilateur de four aurait nécessité une intervention d’environ huit heures en cas de défaillance. Enfin, le remplacement d’un réducteur défaillant sur chariot aurait nécessité un temps de remise en état estimé à quatre heures en cas de casse du réducteur.

Terreal mène en parallèle d’autres projets, développés de façon transversale au sein des équipes de la direction de la transformation digitale et de la direction technique et innovation du groupe. Parmi ces projets figurent la conception d’un outil de supervision fondé sur les dernières technologies d’intelligence artificielle et de data-visualisation. Ce programme d’apprentissage a pour ambition d’agréger l’ensemble des données émises par les machines sur les sites industriels. L’objectif étant de les mettre à disposition des opérateurs et d’améliorer ainsi les process de fabrication (tuiles, briques, plaquettes de terre cuite).

« Notre plan de transformation commence à porter ses fruits et nous a permis d’identifier des axes d’amélioration de notre outil industriel, révèle Alexis de Nervaux, directeur de la transformation digitale du groupe Terreal. Nous menons ainsi plusieurs projets pilotes pour évaluer l’efficacité et le ROI de solutions digitales sur nos usines en France. »

Rubbermaid Commercial Products lance une campagne de promotion pour l’hygiène des mains à l’école

Une hygiène des mains efficace n’a jamais été aussi importante et les dispositions en matière de lavage et de désinfection sont plus rigoureuses que jamais à travers le monde en raison de la pandémie de Covid-19. RCP mène une mission visant à accélérer ce changement de comportement, en aidant à inculquer aux enfants une bonne pratique de l’hygiène des mains et à créer des habitudes qui dureront toute la vie.

Fabricant international de premier plan de solutions d’hygiène des mains, de nettoyage, de gestion des déchets et de recyclage, RCP a développé l’initiative « Levez vos mains pour l’hygiène des mains ». Objectif ? Que les enfants prennent conscience de l’importance de se laver et de se désinfecter les mains soigneusement. Conçue comme une mission dans le style des jeux vidéo, la campagne invitera les écoliers d’Europe à créer un poster d’information soulignant pourquoi l’hygiène des mains est si importante, aujourd’hui et à l’avenir.  Mis au défi de « Transmettre l’information, pas les microbes », les enfants peuvent ainsi sensibiliser leurs camarades à l’importance d’une bonne hygiène des mains.

«Il est temps d’inculquer de bonnes habitudes d’hygiène des mains à la prochaine génération »

Les écoles des quatre gagnants seront équipées de distributeurs haut de gamme RCP : de savon dans les toilettes et de gel hydroalcoolique dans tout l’établissement, et recevront des recharges RCP pour six mois. Les élèves gagnants recevront également un bon d’achat Amazon personnel d’une valeur de 100 €.

Pour Paul Jakeway, responsable marketing de RCP – région EMEA, « il est temps d’inculquer de bonnes habitudes d’hygiène des mains à la prochaine génération.  Nous sommes ravis de pouvoir aider les écoles et les enseignants grâce à notre campagne d’engagement et d’information.  « Levez vos mains pour l’hygiène des mains » est conçue pour s’adresser aux enfants dans un langage universelle : les jeux vidéo !  Les enfants entendent à longueur de journée que l’hygiène des mains est très importante. Nous pensons pouvoir attirer leur attention et les faire participer davantage en leur proposant une activité divertissante. »

Les écoles participantes peuvent télécharger un kit de ressources gratuit contenant une présentation sous forme de diapositives interactive pour mieux expliquer l’hygiène des mains aux élèves, une vidéo dans le style des jeux vidéo pour décrire leur « mission » et quelques conseils des experts de RCP en matière d’hygiène des mains pour les enseignants. 

Le concours est ouvert ici : https://www.rubbermaid.eu/fr/hands-up-for-hand-hygiene/

Le CFIA de Rennes ouvre la voie à des salons hybrides pour GL Events

Le CFIA de Rennes signe pour vous le grand retour des salons industriels. Quel est votre état d’esprit en ce moment ?

Avant tout, du soulagement. À l’heure où on se parle, le salon est juridiquement autorisé, et c’est d’ailleurs la raison pour laquelle nous l’avons décalé d’une journée pour être dans les clous ; l’édition rennaise ouvre donc ses portes le 9 juin au lieu d’hier, avec une jauge de 5 000 visiteurs en simultané, chiffre qui correspond tout à fait à la fréquence habituelle du CFIA (qui rassemble normalement 22 000 visiteurs sur quatre jours). 

Sébastien Gillet, patron des salons industriels de GL Events

Quel est votre sentiment sur la situation actuelle et en quoi impacte-t-elle le salon ?

Chez GL Events, nous avons toujours été très optimistes malgré les différents reports et annulations de notre salon depuis l’année dernière. Cette fois, nous avons la certitude que le salon se tiendra et que de nombreuses entreprises, mis à part quelques grands groupe, laisseront leurs collaborateurs se déplacer au CFIA. 

Quelles spécificités font la force du salon ? 

Avant tout son implantation au cœur de la plus grande région agroalimentaire d’Europe. Celle-ci offre une zone de chalandise considérable avec les différentes fonctions de l’usine, venant essentiellement des régions Bretagne, Normandie et Pays de la Loire ainsi que des autres régions françaises. De plus, à Rennes, l’accès au salon s’avère beaucoup plus simple qu’à Paris ou dans les grandes métropoles. Enfin, compte tenu du faible visitorat étranger (4% habituellement), et qui ne pourra vraisemblablement pas venir, le CFIA devrait plutôt être épargné par la crise.

D’autant que d’une façon générale, l’agroalimentaire est la filière qui a le mieux résisté à cette crise… cela se ressent-t-il à travers vos exposants et l’offre du salon ?

Oui et non. Oui, ce secteur s’en est très bien sorti, à en juger les chiffres et l’activité qui, en dépit du confinement, ne s’est jamais vraiment arrêtée. Certaines entreprises ont même fait de la croissance par rapport à 2019. Néanmoins, je ne pense pas que le covid-19 ait impulsée véritablement de nouvelles tendances.

On constate toutefois une accélération des projets de digitalisation, comme c’est le cas chez les éditeurs de MES ou de GMAO par exemple…

Oui mais selon moi, qu’il s’agisse de la sécurité alimentaire et de la traçabilité des process, de l’industrie du futur, des emballages de demain ou de la transition écologique, ces tendances avaient déjà démarré il y a quelques années. 

Et concernant l’organisation des salons ?

En effet, comme c’est le cas de beaucoup de métiers dont une grande partie se fait au bureau, le Covid a accéléré la digitalisation de nos façons de travailler mais aussi de notre offre. Nous allons accélérer le digital sur les salons, à l’image de Global Industrie que nous allons « hybrider » de façon significative (pour le CFIA, nous n’avons en effet pas eu le temps de mettre en place tout ce que nous allons développer à Lyon à la rentrée, sur Global Industrie).

Mais déjà, sur le CFIA, le digital existe avec MyCFIA, une marketplace donnant de la visibilité sur l’offre toute l’année. Nous sommes en train de la faire évoluer afin d’avoir une application et non plus seulement proposer un accès via le site Web. Avec cette « app’ », les visiteurs pourront assister à des conférences ou d’autres événement en live comme l’inauguration ou la remise des trophées par exemple. Pour Global Industrie, ce sera un cran au-dessus avec un véritable parcours du salon comme l’Innovation Tour. Avec le Covid, nous avons pris le pari de l’hybridation.

Oiltanking renforce la sécurité de son terminal de Copenhague avec Skeyetech, d’Azur Drones

Oiltanking, l’un des plus grands fournisseurs indépendants de stockage de gaz, produits chimiques et pétroliers dans le monde, a récemment équipé son terminal de Copenhague avec le robot aérien résident d’Azur Drones, Skeyetech. La sécurité est en effet au cœur des opérations d’Oiltanking. Avec ses 56 cuves de stockage, le terminal Oiltanking de Copenhague manipule et stocke jusqu’à 460 000 m3 de produits pétroliers propres et de fioul de manière sûre et fiable. Grâce au drone autonome Skeyetech, Oiltanking améliore la gestion des opérations dans ses terminaux ainsi que ses performances en matière de sécurité.

Service d’imagerie aérienne à la demande, surveillance et contrôle de température

Entièrement autonome, le système Skeyetech d’Azur Drones offre un service d’imagerie aérienne à la demande. Il effectue des patrouilles de sécurité de jour comme de nuit, ainsi que des missions spécifiques aux opérations, comme l’inspection de pipelines lors des importations et exportations ou lors du pompage vers l’aéroport de Copenhague Kastrup (CPH). Grâce à sa caméra thermique, le drone effectue également des contrôles de température réguliers sur certaines pompes.

Le drone Skeyetech est prêt à décoller 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 depuis sa station d’accueil installée sur le site. Il est opéré directement depuis la salle de contrôle du terminal de Copenhague grâce à son intégration dans le logiciel de vidéosurveillance du site. « La technologie des drones entièrement autonomes nous permet non seulement de soutenir nos opérations et de renforcer la sécurité et la sûreté, souligne Karl Henrik Dahl, vice-président pour les pays nordiques chez Oiltanking. Elle permet aussi d’accroître l’utilisation de technologies numériques avancées et intelligentes sur nos sites. »

De son côté, Jean-Marc Crépin, CEO chez Azur Drones, ajoute : « Ce déploiement au Danemark, qui intervient cette année après de nombreux autres déploiements sur des sites sensibles et industriels, démontre notre capacité à installer avec succès nos systèmes autonomes à l’étranger. D’ailleurs, depuis le début de l’année, Azur Drones accélère les déploiements de son système Skeyetech conformément à ses ambitions mondiales. »

Flair Airlines signe un accord de maintenance APU avec EPCOR

Epcor vient de signer un accord de maintenance APU avec Flair Airlines. L’entreprise implantée Amsterdam et filiale d’AFI KLM E&M ajoute ainsi un nouveau client canadien à sa clientèle mondiale. Cette fois, c’est sur pour l’entretien de la flotte Boeing 737 que porte ce nouveau contrat de maintenance exclusif.

Flair Airlines, seul transporteur indépendant à très bas coûts (ULCC) du Canada, connaît une expansion ambitieuse avec l’ajout de treize nouveaux appareils Boeing 737MAX 8 en 2021. Actuellement, l’opérateur canadien utilise trois 737-800, les nouveaux appareils faisant passer la flotte à seize avions opérés.

Stratégie payante d’Epcor

Plus précisément, le contrat porte sur la réparation et la maintenance de l’APU Honeywell GTCP131-9B. L’expertise d’Epcor en tant qu’opérateur de maintenance agréé par Honeywell pour les compagnies aériennes, son système de maintenance prévisionnelle en constante évolution « Prognos for APU » et sa toute dernière fonctionnalité de gestion de flotte d’APU auraient été déterminants dans l’obtention de ce contrat.

Pour Guy Borowski, vice-Président maintenance de Flair Airlines, c’est « l’état d’esprit « compagnie aérienne » d’Epcor, qui pratique des prix compétitifs, et l’amélioration continue de ses processus de réparations en atelier » qui est aujourd’hui valorisé ; une stratégie visiblement payante pour la filiale d’AFI KLM E&M.

Acoem se renforce dans l’industrie 4.0 aux États-Unis avec l’acquisition de Reliability Point

La semaine dernière, Acoem a franchit une nouvelle étape de son développement avec l’acquisition de la division Fiabilité de la société américaine Reliability Point, spécialisée dans l’intégrité et la fiabilité des actifs industriels. Mais les deux entreprises se connaissent. Implanté à Baton Rouge, en Louisiane, Reliability Point fournit en effet depuis plus de vingt-cinq ans des services et des solutions de maintenance conditionnelle et de surveillance reposant sur la fiabilité.

Depuis plus de vingt ans, une étroite collaboration s’est établie avec VibrAlign à travers la distribution d’équipements de maintenance conditionnelle, d’alignement d’arbres et de diagnostic de machines. VibrAlign fait déjà partie du groupe Acoem depuis 2015. L’entreprise avait commencé à servir le marché américain en 1983.

Digitaliser par l’intelligence artificielle pour des opérateurs augmentés

En tant que distributeur commercialisant les solutions Acoem, Reliability Point possède une véritable expertise pour développer l’offre d’Acoem avec de nouveaux services digitalisés grâce à l’intelligence artificielle pour l’opérateur augmenté. Les clients d’Acoem bénéficient également d’importantes capacités d’analyse de maintenance, notamment grâce à son réseau d’experts en Inde.

Pour Acoem, la décision d’intégrer Reliability Point était claire et évidente. Elle permettra à l’entreprise de renforcer ses capacités de service sur tout le territoire des États-Unis, de fournir un plus grand support à ses clients et de travailler avec une équipe très expérimentée dans les solutions de fiabilité numérisées, de diagnostics automatisés et d’analyse des données à distance.

Alors que le monde évolue vers l’industrie 4.0, Acoem cherche de nouvelles façons d’améliorer son offre de produits et de services, de manière à pouvoir garantir à ses clients la protection de leurs actifs critiques, une prolongation de la durée de vie de leurs machines et une anticipation des réparations ou des pannes coûteuses.