La société Greenmot se lance dans le retrofit et l’électrification des bus

Tiraillé par la crise sanitaire et économique, le gouvernement Castex n’en oublie pas moins l’engagement de la Loi de transition énergétique en sélectionnant le projet Green-eBus, de la société Greenmot pour le retrofit et l’électrification des bus. Implanté à Villefranche-sur-Saône (69), Greenmot intègre ainsi le Programme d’investissements d’avenir (PIA) porté par l’Ademe. Le laboratoire d’essai et d’ingénierie bénéficie en outre d’un financement de plus d’1 M€ ; ce montant supporte le projet de réalisation d’un prototype de transformation de bus urbain diesel en propulsion électrique à batterie.

Rétrofiter les bus diesel des flottes existantes en bus électrique a un objectif : accélérer la transition énergétique par la transformation rapide et à coût maîtrisé d’une grande partie du parc actuel de véhicules. Les bus transformés – à mi-vie – pourront ainsi continuer de rouler partout. Cette prolongation de la durée de vie des bus existants a ainsi pour but de revaloriser les flottes diesel actuelles, allonger leur durée de vie et donc optimiser le budget de transport public. Ce retrofit permettra enfin de maitriser le coût de mise en place des zones à faibles émissions (ZFE).

Former une filière française de rétrofit à fort potentiel d’exportation

D’une durée de 18 mois, le projet de développement du premier prototype. Puis viendra la mise en place d’un pôle de fabrication industrielle dans l’usine de Villefranche-sur-Saône, accompagné par le renforcement du pôle SAV. « Ce projet ouvre une opportunité industrielle pour Greenmot, déclare son président Stéphane Londos. L’entreprise s’appuiera sur plusieurs partenaires régionaux afin de former une filière française de rétrofit avec un fort potentiel d’exportation. »

Ce projet représente en conséquent la première pierre d’un pôle d’ingénierie de véhicules industriels associant transition énergétique et maîtrises des spécificités des véhicules spéciaux. Les compétences mises en œuvre permettront ensuite d’aller vers d’autres énergies, telle que l’hydrogène. Enfin, le projet veut aller plus. Il consiste en une approche globale avec revalorisation des pièces démontées via une filière de réutilisation des pièces ou le recyclage de matériaux.

Industrie du futur – Retour d’expérience avec le groupe Pellenc

Retour d’expérience avec le groupe Pellenc, fabricant international d’équipements agricoles implanté en région Paca, et récemment labellisé Vitrine Industrie du Futur. Romain Serratore, directeur industriel de Pellenc, a témoigné sur l’intégration des technologies d’industrie 4.0 dans l’usine de Pertuis (Vaucluse).

Oqton lève plus de 40M$ et veut s’imposer comme un acteur sérieux de l’industrie 4.0

Créée par d’anciens dirigeants d’Autodesk, Oqton lève plus de 40M$ sur les marché avec pour but de s’imposer dans l’industrie 4.0. Cette ambition s’appuie sur la « plateforme de production end-to-end basée sur le Cloud ». Cette solution d’Oqton représente en effet, et selon ses dirigeants, l’avenir des logiciels de fabrication. La levée de fonds permettra de poursuivre le développement de la plateforme, tout en étendant les partenariats commerciaux de la société (fabrication additive, soudage robotisé, machines CNC).

Oqton, « une solution unique » pour l’industrie 4.0

Selon ses concepteurs, la solution d’Oqton est unique. Celle-ci combine en effet plusieurs fonctions de logiciels de fabrication (CAD, PLM, CAM, IOT, MES, QMS) sur une seule et même plateforme. Cela permet ainsi un degré inédit d’automatisation et d’optimisation basées sur l’IA. Ses utilisateurs peuvent recueillir automatiquement des informations d’expert et éliminer les tâches répétitives. Ils peuvent également accéder à des technologies à distance d’un site à l’autre et optimiser la planification de leur production pour améliorer l’utilisation et la qualité de leurs produits.

Pour Samir Hanna, cofondateur et président d’Oqton, « nous sommes déjà parvenus à une automatisation totale sur les marchés verticaux de la dentisterie et de la joaillerie, avec une réduction générale des coûts de 30 %. Vu la stratégie qui sous-tend la plateforme, notre logiciel peut convenir à toute une série de marchés verticaux spécifiques… à l’exemple de la dentisterie, la joaillerie, la médecine, l’industrie ou encore l’aérospatiale. »

Une plateforme intégrable à 100 %, qui a déjà séduit différents fabricants

Intégrable à 100 %, cette plateforme peut également être connectée aux technologies traditionnelles de ses utilisateurs. C’est le cas notamment de la machinerie CNC, des équipements de soudage robotisé et des machines de post-traitement. Il s’agit ainsi d’une solution de fabrication end-to-end, améliorant du même coup la rapidité des processus, leur flexibilité et leur rentabilité. Oqton a déjà établi des partenariats avec EOS, Sisma, Trumpf, Prodways et Sandvik.

Cette levée de fonds effectuée, Oqton ne devrait pas en rester là. Son cofondateur et CEO Ben Schrauwen précise en effet être à la recherche « de nouveaux investisseurs capables de nous aider à nous étendre à l’international. Nous pensons sincèrement qu’il est temps pour le secteur manufacturier de passer au Cloud. Nous faisons tout ce que nous pouvons pour faciliter cette évolution. »

Robots collaboratifs : l’INRS renforce la prévention des risques liés aux interactions homme-machine

Face à l’engouement croissant des industriels pour les robots collaboratifs, l’INRS a décidé de renforcer son arsenal d’outils de prévention aux risques liés aux interactions homme-machine. La robotique collaborative pose en effet la question de la co-activité homme-robot et des risques associés. « La différence avec les robots traditionnels réside dans cette volonté de co-activité visant à effacer partiellement ou totalement la barrière physique entre l’homme et le robot », souligne Jean- Christophe Blaise, responsable du laboratoire Sécurité des équipements de travail et des automatismes à l’INRS.

Comme n’importe quelle machine, ces robots comportent des éléments en mouvement (bras, pinces, outils, pièces manipulées) susceptibles de blesser les opérateurs évoluant à proximité. Troubles musculosquelettiques (TMS), choc, écrasement, brûlure, coupure… à ces risques peuvent aussi s’ajouter des contraintes psychiques (stress, surcharge mentale). 

Arsenal d’outils de prévention pour réduire les risques

C’est pourquoi l’INRS a décidé de prendre les devants et de lancer une batteries d’outils de communication, de formation et de prévention des risques. Outre son site Internet (déjà très riche en informations techniques et pratiques), l’institut vient de lancer un guide intitulé : « 10 questions sur les robots collaboratifs ».

Afin d’intégrer ces bonnes pratiques de prévention le plus tôt possible dans la démarche de prévention des risques professionnels, l’INRS met à la disposition des entreprises une vidéo. Le but est de mieux appréhender les conséquences de l’utilisation de robots collaboratifs sur la santé et la sécurité des travailleurs. L’institut propose également une infographie présentant les principaux risques associés à ces nouvelles technologies et les solutions adaptées. 

En outre, une journée technique intitulée « Robots collaboratifs : démarche de prévention pour une intégration réussie » aura lieu le 22 juin 2021. Celle-ci s’adresse aux entreprises utilisatrices, concepteurs et intégrateurs de robots ainsi que les préventeurs. Autres démarches de l’INRS, la rédaction d’un dossier web dédié aux robots collaboratifs, le replay d’un séminaire en ligne (webinaire) : « Robots collaboratifs : quels enjeux pour la prévention ? ». 

Astrée Software organise début février 22 webinaires pour digitaliser les usines

« Digitaliser votre usine, simple à réaliser ? » Tel est le thème sur lequel porteront vingt-deux webinaires. Cet événement en ligne organisé par l’éditeur français de MES Astrée Software du 2 au 4 février prochains. Au total, onze acteurs de l’usine du futur (PME françaises et indépendantes) animeront cet évènement digital gratuit destiné aux PME & ETI industrielles. Objectif ? Les évangéliser à la digitalisation de leurs usines.

Les nombreuses ambitions des 22 webinaires

Cet événement a plusieurs ambitions : offrir une vision globale de la digitalisation de l’usine, faire avancer les projets de transformation numérique, faire découvrir la simplicité des solutions techniques et/ou d’accompagnement, donner des clefs pour financer ces projets et échanger avec des experts de l’industrie du futur.

Plus particulièrement, ces webinaires donneront lieu à quatorze ateliers experts présentés en binômes (deux offreurs traitent un sujet), neuf retours d’expériences d’industriels et des rendez-vous individuels connectés avec les experts métiers. 

Pour s’inscrire

Liste et détail des onze entreprises intervenantes
• 5A Solutions : Conseil et accompagnement dans le déploiement de solutions PLM & BI. • Agence Smart Industry : Accompagnement des entreprises français pour tendre vers l’industrie 4.0. • Aïto Consulting : Conseil et accompagnement opérationnel en organisation et transformation numérique des entreprises. • Alpa Finance : Expert dans la location financière évolutive pour les équipements et matériels digitaux, informatiques, numériques. • Astrée Software : Editeur et intégrateur de logiciel MES, pour le suivi et le pilotage de la production. • Dimo Maint : Gamme de logiciels de maintenance GMAO. • Ealtec : Solutions matérielles informatiques professionnels en milieu industriel. • Editag : Conçoit et fabrique une solution IoT complète, sécurisée pour le suivi et la traçabilité des processus de préparation de commande et des flux de logistique/production. • Irup : Formations supérieures en alternance, bâtiment, industrie, comptabilité, finance, informatique, nucléaire, ESS, stratégie, management. • Kpitaine : Solutions de management visuel. • Sylob : Logiciel ERP pour l’industrie (PME et ETI).

Fives sélectionne Wallix Inside pour renforcer sa cybersécurité

Afin de réussir la transformation digitale de ses usines, Fives sélectionne Wallix Inside pour renforcer sa cybersécurité. Cette solution fait office de brique supplémentaire. Développée chez Wallix, un spécialiste de la cybersécurité, Wallix Inside s’intègre à la Gateway CortX (solution de Fives). Il garantit ainsi la collecte, l’exploitation et le partage des données des machines, en toute sécurité. Quant à la solution IoT de Fives CortX, CortX Alchemy, celle-ci permet de connecter l’environnement de production d’une usine à une série d’applications métiers. Elle donne aussi la possibilité de collecter et d’analyser les données générées pour optimiser la productivité des systèmes industriels et en rationaliser la maintenance.

Assurer un niveau de cybersécurité renforcé pour entrer dans l’industrie 4.0

Fives propose des solutions flexibles et sur mesure visant à optimiser la production et la maintenance des sites industriels à travers la valorisation des données issues du terrain. « L’intelligence artificielle se trouve au cœur de nos systèmes et la cybersécurité au cœur de nos préoccupations, explique le président de Fives CortX, David Zak. Ainsi nous veillons à sécuriser les flux et les données. Avec la solution Wallix Inside, nous intégrons donc les meilleures technologies au sein de nos solutions pour assurer un niveau de sécurité renforcé entre les machines connectées et notre Gateway IoT. Cela permet ainsi à nos clients de rentrer de plain-pied dans l’industrie 4.0. »

De son côté, Didier Cohen, CSO de Wallix, indique cette « collaboration avec Fives CortX s’inscrit dans le cadre d’un partenariat stratégique plus large. Celui-ci consiste à concevoir ensemble des solutions sécurisées by design pour l’industrie 4.0 et fondée sur une vision partagée : la transformation numérique réussie dans l’industrie passe par la confiance et donc par la sécurité. En équipant la Gateway Fives CortX de la technologie Wallix Inside, nous contribuons à mettre en place des solutions connectées, sécurisées et packagées. Objectif ? Permettre aux industriels d’aborder le virage de l’industrie 4.0 en toute sérénité et dans le respect de la protection des données. »

Seqens s’oriente vers le manufacturing 4.0 avec HRC Software en misant davantage sur la mobilité

Seqens s’est appuyé sur HRC Software pour réduire son time to market en installant les applications mobiles à destination des fonctions Supply Chain & Maintenance. Celles-ci permettront de capter l’information au plus près du terrain. Plus globalement, il s’agit pour Seqens de répondre à des ambitions de croissance et développement. Seqens s’est donc orienté dans une démarche de manufacturing 4.0 et de transformation numérique de ses usines. L’objectif est d’augmenter sa production et garantir la qualité des produits… le tout dans le respect des contraintes de sécurité liées au domaine de la chimie (type norme Atex) et de traçabilité pour l’industrie pharmaceutique.

Apporter des solutions clefs de mobilité

Une cartographie des processus a permis d’identifier les points problématiques sur lesquels il était intéressant d’apporter de la mobilité. Parmi eux figuraient des besoins de traçabilité et de sécurité. Seqens a ainsi apporté son expertise métier en co-innovant avec HRC Software sur les applications maintenance.

« Nous participons activement aux efforts de relocalisation de l’industrie en France, et pour rester compétitifs, nous devons nous moderniser, indique Alexandre Gultzgoff, DSI de Seqens. Dans ce cadre, le programme de mobilité de HRC Software répondait à nos ambitions, Nous sommes capables aujourd’hui de tracer les produits en temps réel tout en supprimant des étapes intermédiaires inutiles et chronophages. »

« Avec Seqens, nous ne sommes pas dans un schéma prestataire-client, mais bien dans une relation de partenaires, précise Cyril Vernet, directeur de la filiale HRC Software. Nous nous rejoignons sur des valeurs communes comme l’orientation résultats, la flexibilité, l’écoute des besoins métiers. L’expertise métier de Seqens autour des processus de la maintenance nous a permis de travailler en co-innovation sur les applications dédiées. »  

Quels bénéfices attendus ?

Parmi les attentes de Seqens en matière de mobilité et de la mise en production progressive de la suite applicative HRC Software tout au long de l’année figurent : la continuité de la production, la réduction des risques et la sécurité accrue des opérations. Seqens compte également optimiser la traçabilité et la qualité à travers une meilleure visibilité sur la qualité des produits finis envoyés aux clients. Enfin, une meilleure gestion des incidents de maintenance et plus de visibilité en temps réel sur les stocks font aussi partie des bénéfices attendus.

Dans l’ensemble, la solution déployée offrira une plus grande productivité et une meilleure traçabilité. De ce fait, c’est l’image et l’attractivité de Seqens, en interne comme en externe, qui se voient améliorées. « Avec plus de 23 000 équipements à gérer et 10 000 articles en stock, répartis sur cinq magasins, ces applications mobiles étaient très attendues, souligne Marianne Maurice, leader Excellence opérationnelle chez Seqens. Les équipes HRC Software ont conçu et développé des applications capables d’optimiser le quotidien de nos opérateurs terrains. Le but étant de faciliter la transmission des données, de réduire les risques d’erreurs… et de gagner du temps sur des tâches jusque-là gérées manuellement. » 

Measurement World, le CIM et Global Industrie changent de date et auront lieu conjointement du 6 au 9 septembre à Lyon

Dans la valse des reports de salons, il en est qui sont plus marquants que d’autres… Face à l’incertitude du calendrier et de l’enjeu important que représentent certains événements, GL Events a tranché. D’une part, le salon Global Industrie, initialement programmé à la fin du mois de mars, a finalement été déplacé du 6 au 9 septembre. Quant à Measurement World, normalement prévu à l’automne, celui-ci a été avancé aux dates – du 7 au 10 septembre. Surtout, il change de lieu et rejoint à Lyon Eurexpo la grande messe française de l’industrie. Simultanément se tiendra le Congrès international de métrologie (CIM)

Pour les organisateurs, « la tenue simultanée de Measurement World avec le CIM et de Global Industrie dans la première région industrielle de France vise à proposer un panorama encore plus représentatif de l’Industrie et orientée vers l’industrie du futur ». Une synergie gagnante qui souligne également le caractère international de ce grand rassemblement et étoffe naturellement l’expertise marché auprès des visiteurs.

Berger-Levrault et sa filiale Carl Software s’associent à la Bemas pour se renforcer au Benelux

Déjà membre de l’Afim, le spécialiste de la GMAO Carl Software (groupe Berger-Levrault) veut désormais étendre son influence au Benelux. Pour ce faire, l’éditeur s’est rapprochée d’une autre association phare pour la maintenance, la Bemas. Cette association et plateforme d’échanges s’appuie sur un important réseau à la fois en Belgique mais aussi aux Pays-Bas et en Europe. Un passage obligé donc pour la filiale située à Bruxelles depuis près de huit ans.

Se renforcer du côté flamand

Sur le terrain, l’entreprise propose son expertise en Belgique francophone, notamment dans le secteur de la santé (Grand hôpital de Charleroi, CHU de Namur), de l’industrie (Schneider Electric, Solystic) et du patrimoine. Très logiquement, elle entend aujourd’hui s’étendre sur le secteur flamand.

Nomination d’un nouveau country manager

En octobre, dernier 2021, l’entreprise avait nommé un nouveau country manager flamand, Alexandre Grutering. Celui-ci présentera cette année au réseau de la Bemas sa nouvelle offre logicielle Carl Source 6. Cette nouvelle version phare pour l’éditeur de GMAO présente des évolutions ergonomiques majeures et de nouvelles fonctionnalités métiers. « Carl Source 6 concrétise la transformation de l’offre GMAO / GTP et accélère l’entrée des utilisateurs dans l’univers de l’industrie 4.0, du Smart Building ou de la Smart City », souligne-t-on chez Carl Software.

Acquisition : Rockwell Automation met la main sur Fiix, spécialiste des solutions IA et Cloud pour la maintenance

Rockwell Automation, spécialiste de l’automatisation industrielle et de la transformation numérique, a fait l’acquisition de Fiix (Toronto – Ontario). Fondée en 2008, cette société privée développe des systèmes d’intelligence artificielle (IA) pour la gestion informatisée de la maintenance (CMMS).

CMMS : le système Fiix entièrement dédié à la gestion de la maintenance

Le système CMMS Cloud de Fiix facilite la planification, l’organisation et le suivi des opérations de maintenance des équipements. Il se connecte aisément aux systèmes de l’entreprise et facilite la prise de décisions. Au total, Fiix gère plus de 2 millions d’actifs et génère plus de 6 millions de commandes par an.

« L’avenir de la gestion des actifs industriels s’appuie sur les performances, affirme Tessa Myers, vice-présidente Gestion de produits, logiciels et contrôle chez Rockwell Automation. En profitant de la plate-forme et de l’expertise de Fiix, nos clients bénéficieront d’une vision à 360 degrés des données intégrées aussi bien dans l’automatisation, la production que la maintenance. Ils seront en mesure de surveiller et d’améliorer les performances de leurs actifs et aussi d’optimiser les procédures de maintenance. »

Pour James Novak, PDG de Fiix, « la vocation de Fiix est de connecter les équipes en charge de la maintenance et de l’exploitation avec les outils, les ressources et les technologies requis pour moderniser et accéder au futur de la maintenance. Le fait de rejoindre Rockwell Automation nous permettra d’aider davantage d’entreprises à moderniser la maintenance et à améliorer les performances des actifs, grâce à l’interconnexion de systèmes de données, d’automatisation et de production à la pointe de l’industrie. »