J.-P. Souris alerte sur l’utilisation non autorisée de la méthode MAXER

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Jean-Paul Souris lance un avertissement solennel sur l’utilisation abusive de la marque et de la méthode MAXER (méthode de résolution de problèmes, pannes et dépannages)

A qui appartient la méthode MAXER ?
Jean-Paul Souris.
La Méthode MAXER et son nom appartiennent maintenant à la veuve de Robert Sanner, concepteur de la Méthode quand il l’a créée à la demande de Michelin alors qu’il était directeur de la société Lausanne.
S. CONSULTANTS (société de conseil créée par J.-P. Souris, ndlr) a acheté la licence à Robert Sanner et il est donc le seul instructeur homologué et habilité à réaliser des formations et à former des instructeurs. Le chiffre d’affaires que je réalise est conditionné à des royalties que je dois reverser à la veuve de Robert Sanner.

Vous pouvez donc affirmer détenir la propriété exclusive de la marque, sans exception ?
S. CONSULTANTS a déposé le nom de MAXER à l’INPI, sous trois modules , MAXOPERA, MAXDIAG et MAXFIAB.
Il n’y a qu’une exception à l’utilisation de la méthode Maxer, c’est qu’il y a un autre instructeur, Bruno Martin mais qui travaille essentiellement pour MICHELIN et a l’exclusivité sur la région Auvergne. La société Michelin possède une licence et est susceptible de l’utiliser à travers ses entreprises au niveau mondial.

Pourquoi lancez-vous aujourd’hui cet avertissement solennel ?
La formation est présente dans le catalogues de TRITEC (Roanne) pour laquelle je suis le seul habilité à assurer le programme MAXER. J’ai tenu à alerter les futurs stagiaires intéressés par la méthode que d’autres organismes présentent cette formation sous le nom MAXER dans la plus parfaite illégalité et qu’ils s’exposent à des poursuites en justice pour plagiat…

pour info :
« Maintenance MAXER, pannes et dépannages », Robert Sanner, Stéphane Sanner, Dunod, édition 2012, 192 pages.

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